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Charles-Henri Dorris louange les chasseurs de grands gibiers

Le chroniqueur Charles-Henri Dorris n’a que de bons mots pour la communauté québécoise des chasseurs sportifs de cerfs et d’orignaux.

Il estime qu'ils font même partie de l’élite mondiale des chasseurs de grands gibiers.

Le spécialiste de la chasse de la grande faune, se dit fasciné de voir à quel point la chasse au gros gibier a progressé positivement au Québec.

« Je pense aux efforts que les chasseurs mettent pour arriver à être de meilleurs chasseurs. Autrefois, les gens allaient à la chasse de l’orignal dans le but de s’amuser, fraterniser, prendre des vacances et de s’échapper de la maison. Or aujourd’hui, un fort pourcentage de chasseurs sont devenus de vrais techniciens de la chasse. J’avancerais même que 40 à 50% des chasseurs d’orignaux sont aptes à guider d’autres chasseurs. J’en connais plusieurs en qui j’aurais confiance de confier un client pour le mener à la récolte d’un orignal », affirme Charles-Henri Dorris.

En entrevue cette semaine à « Rendez-Vous Nature », ce dernier retient deux principaux facteurs qui l’amènent à cette appréciation des chasseurs québécois.

« Les chasseurs veulent comprendre ce qu’ils font pour avoir des résultats et ils veulent surtout comprendre de leurs erreurs. Les chasseurs prennent leurs activités de chasse à cœur. Je connais un grand nombre de chasseurs qui se tiennent en forme et font attention à leur alimentation tout au long de l’année, afin d’être en mesure de marcher longtemps les montagnes où les orignaux habitent », dit-il.

Résultats en ligne impressionnants

Charles-Henri Dorris estime aussi que l’accessibilité aux différentes formations, conférences et documentations y sont pour quelque chose.

« Aujourd’hui, on retrouve une offre très variée de divers types de formations, autant théoriques, que pratiques. J’offre et je donne des formations sur la chasse à l’orignal et du chevreuil depuis plusieurs années. Ce qui fait la force d’un formateur ne sont pas ses aptitudes à être le meilleur guide ou chasseur. Mais sa capacité de diffuser les matières d’une façon vulgarisée, afin que les élèves l’assimilent et la comprennent bien. La formation en ligne fait aujourd’hui partie de nos vies. Après un an de formations en ligne, je peux dire que les résultats sont impressionnants, et pour le diffuseur et pour l’élève », estime Charles-Henri.

Et selon le spécialiste Dorris, la formation en ligne aide le diffuseur à être à son meilleur.

« Un étudiant qui désire bien comprendre la matière pourra revoir les portions de la formation qu’il n’a pas maîtrisée lors de la première diffusion. En plus, la formation se passe dans le confort de sa résidence et à moindre coût. Le diffuseur n’a pas besoin de louer une salle de classe et de payer des coûts de déplacements et de séjour », dit-il.

À la fin, tous y gagnent. L’élève économise, assimile mieux la formation, peut revoir le contenu total de la formation. Le professeur économise temps, argent et énergie et est plus disposé à répondre aux questions des participants.

Une entrevue à ne pas manquer avec Charles-Henri Dorris, à « Rendez-Vous Nature ». Cliquez sur le lien ci-haut.

 

Auteur : Ernie Wells

Catégorie : Chasse

Publié le : 2021-02-23 17:20:38